BAPTEME

Pièce sonore ambisonique  17 min – 2023
Composition – Léonore Mercier

Ce récit sonore nous fait ressentir de multiples sensations à travers une chute merveilleuse entre le ciel et la mer. Un changement de milieu en douceur qui provoque de nombreuses réactions sensorielles. Cette naissance inversée qui passe par l’air puis par la mer, nous fait lâcher prise au rythme des différentes étapes de notre trajectoire. Une sensation de bien-être et de relaxation s’installe doucement tout au long de ce voyage à la rencontre d’un imaginaire élémentaire. 

Le passage aérien débute du saut d’un avion à plus de 4000 mètres d’altitude, pour ensuite rentrer dans un ballet de puissants mouvements aériens, pendant que le rythme s’accélère et qu’un apaisement s’installe. Puis le parachute s’ouvre et le temps d’une balade commence.

L’impact avec l’eau se fait tout en douceur. Les deux milieux se rencontrent dans un tourbillon de bulles. Le corps plonge tandis que l’ivresse aquatique s’en empare et que le rythme cardiaque ralentit.

C’est un moment de découverte dans un univers d’immensité et de calme accompagné d’espèces maritimes. Une harmonie agréable prend place et noue contact avec notre vraie nature.

Tout d’un coup, un appel, une nostalgie de la lumière ressort et le corps tourne le dos à ce monde marin pour se diriger naturellement, sans effort, à la surface. Soudain c’est l’oxygène, instant parfait entre air et eau, et on dérive ainsi, ressourcé.

Léonore Mercier nous fait ainsi découvrir son univers musical sensoriel et cette expérience de la durée, comme une sorte de cinéma pour l’oreille, qu’une expérience immersive binaurale ne peut rendre que plus vivante.

Prise de son et spatialisation : Léonore Mercier et Frédéric Changenet

Photographie : Juliegautier.WaterTales et ©Guillaume Nery

Compositrice : Léonore Mercier

Une production : Radio France

CAUCHEMAR MERVEILLEUX

Pièce sonore ambisonique  60 min – 2016
Composition – Léonore Mercier
Texte – Arthur H

Le Cauchemar merveilleux est à l’origine un recueil de poème et contes d’Arthur H, qu’il a choisit de faire entrer dans une autre dimension. Celle d’une mise en son 3D agencée par une plasticienne sonore, Léonore Mercier. Le Synesthesium, espace multisensoriel et immersif permet à Léonore de sublimer la poésie punk mystique et l’imaginaire empreint de liberté d’Arthur H. Il faut « laisser les sons et les images nous traverser et nous transporter », dit-il. Le son transforme le quotidien vers un monde fantasmagorique doué de pouvoirs hallucinatoires illimités », répond-elle. Le Synesthesium accueille pour première œuvre « Le Cauchemar Merveilleux ». Mais celui-ci a pour vocation de diffuser différents projets d’Arthur H et Léonore Mercier mais aussi d’autres artistes invités. Pour une durée de 60 minutes, en live ou en installation, cette immersion inédite stimule non seulement nos sens, mais bouleverse également notre manière d’écouter et de voir, grâce à un équipement innovant.

ANATOMIE DE L’AUTOMATE BARBARE

Pièce radiophonique 10′ – 2010

Un homme, facteur d’orgue obscur met en branle un système mécanique
qui diffuse des mélodies exaltées, incantatoires, douées de pouvoirs
métamorphiques.

POINT DE COTE

Pièce sonore 13’30 – 2008
Fruit d’une résidence à l’IMEB, Institut de musique électro acoustique de Bourges.
39ème festival de synthèse de l’Imeb à Bourges
Concert à l’Ircam dans le cadre de la sixième semaine du son à Paris

En premier lieu, première étape de sectorisation, la situation : une île inexplorée bruissante de vies sauvages et d’exotismes.
En ouverture, le processus initial se délivre en une focalisation progressive sur le sujet d’analyse par le biais d’un recentrage sonore, rendant plus proche l’origine des sons.
La notion de rapprochement s’effectue par la sélection élective des cris. (chronologiquement : appels, alertes, alarmes !)
La monstration parcimonieuse permet le silhouettage sinon l’identification des animaux émetteurs.
Puis l’intrusion de l’humain déséquilibre les repères précédents.
Nouvel état des lieux :
La composition sonore est astringente ou expansive suivant le territoire parcouru au fil de la visite.
L’homme sociétalement omnipotent se garde la part du lion, domestique la vie dans son entièreté au rythme de son timing journalier, ayant réussi, en fin de compte, « à chasser du naturel l’instinct ».
Nouvelle situation : un îlet alcatrazal dans la société urbaine, comme vitrine du monde animal choséifié pour le seul plaisir du genre humain, est observé à la loupe.
Il en ressort une confrontation de deux genres vivants dont le plus doué de conscience ignore le droit d’ainesse.
Les sons participent de l’idée d’isolement de par leurs cloisonnages intermittents; au train où vont les choses, cellules, cages de verres, châsse s’ordonnent en suspens constant.
« Un travail de têt », expérience paramétrée en laboratoire mécanisé, reformule une version cauchemardesque de la réalité.
Au final, sous cloche, le relativisme de la suprématie de l’homme sur l’animal point.

(Texte : Didier Mercier)

SO

Pièce sonore 6’30 – 2007
Primé au concours d’art sonore de phonurgia nova 2007,
diffusé 18 janvier 2008 à l’Ircam pour la semaine du son.

Carnet de voyage sonore : la vie en prise directe de Berlin.

En quatrième année des Beaux Arts, dans le cadre des échanges Erasmus, fille au pair à Berlin Ouest, étudiante à Berlin Est, enregistreur en poche durant cinq mois, voici « SO » la vie en prise directe de Berlin, Action !
Une enfilade de portes ouvertes qui sont autant de sources d’où surgissent des ambiances distinctes, en chœurs bigarrés d’accents variés unis dans le flux, dans le flot, comme les pans sonores d’une orchestration universelle. L’apparent mode aléatoire des incursions sonores procèdent d’une dynamique propre à la quotidienneté.
« Es gibt kein punkte am Ende, das ist die richtige Forme» (il n’y a pas de point à la fin c’est la vrai forme) : Le son y est continuel, pas de description figée, murée sur cette ville, seulement l’écoute d’un passage.
Seule ponctuation préconisée « So » signifiant la capacité de synthèse, la possibilité de continuité, l’élargissement hors limite.

POINT VIRGULE

Pièce sonore, piano 2’25 – 2007

Ma pratique plastique et pianistique m’ont amené à composer un morceau de piano en faisant appel au collage, par l’agencement d’accords fondamentaux, de fins empruntées aux morceaux classiques (Rachmaninov, Debussy, Bartok, Mozart, Brahms, Beethoven, Ravel, Chopin). Aucun refrain, dénouement en perpétuelle devenir!

SYMPHONIE PORTABLE

Pièce sonore, 1’36

Chaos puis ré-harmonisation de la population téléphonique.

A COMME ANIMAL

Pièce sonore, 4’56 – 2006

Diffusé au festival sonore City Sonics à Mons – 22.06 > 29.07.07
Cet environnement sonore ludique part d’un fragment de propos de Gilles Deleuze sur l’Animal dans son abécédaire posthume (entretien avec Claire Parnet, réalisation : Pierre-André Boutang, 1996).
Il s’agit de la lettre A de l’abécédaire de Deleuze, concernant les animaux domestiques et plus particulièrement le rapport entre les hommes et leurs bêtes.
« Comment les gens parlent ils à leurs bêtes » Gilles Deleuze est déconcerté par le dialogue entre l’humain et l’animal.
La pièce sonore illustre cette pensée et documente l’état de ce rapport à partir d’enregistrement réel de relation « maître/animal ». Les relations intimes avec nos chers petits animaux domestiques sont ici dévoilés..

VOUS AVEZ COMPRIS ?

Pièce sonore, 1’46

Une femme âgée se pose toute la journée la même question…
Montage de l’utilisation du mot « comprendre » en 2 h d’enregistrement avec ma grand-mère.

CAUCHEMAR MERVEILLEUX

Pièce sonore ambisonique  60 min – 2016
Composition – Léonore Mercier
Texte – Arthur H

Le Cauchemar merveilleux est à l’origine un recueil de poème et contes d’Arthur H, qu’il a choisit de faire entrer dans une autre dimension. Celle d’une mise en son 3D agencée par une plasticienne sonore, Léonore Mercier. Le Synesthesium, espace multisensoriel et immersif permet à Léonore de sublimer la poésie punk mystique et l’imaginaire empreint de liberté d’Arthur H. Il faut « laisser les sons et les images nous traverser et nous transporter », dit-il. Le son transforme le quotidien vers un monde fantasmagorique doué de pouvoirs hallucinatoires illimités », répond-elle. Le Synesthesium accueille pour première œuvre « Le Cauchemar Merveilleux ». Mais celui-ci a pour vocation de diffuser différents projets d’Arthur H et Léonore Mercier mais aussi d’autres artistes invités. Pour une durée de 60 minutes, en live ou en installation, cette immersion inédite stimule non seulement nos sens, mais bouleverse également notre manière d’écouter et de voir, grâce à un équipement innovant.

ANATOMIE DE L’AUTOMATE BARBARE

Pièce radiophonique 10′ – 2010

Un homme, facteur d’orgue obscur met en branle un système mécanique
qui diffuse des mélodies exaltées, incantatoires, douées de pouvoirs
métamorphiques.

POINT DE COTE

Pièce sonore 13’30 – 2008
Fruit d’une résidence à l’IMEB, Institut de musique électro acoustique de Bourges.
39ème festival de synthèse de l’Imeb à Bourges
Concert à l’Ircam dans le cadre de la sixième semaine du son à Paris

En premier lieu, première étape de sectorisation, la situation : une île inexplorée bruissante de vies sauvages et d’exotismes.
En ouverture, le processus initial se délivre en une focalisation progressive sur le sujet d’analyse par le biais d’un recentrage sonore, rendant plus proche l’origine des sons.
La notion de rapprochement s’effectue par la sélection élective des cris. (chronologiquement : appels, alertes, alarmes !)
La monstration parcimonieuse permet le silhouettage sinon l’identification des animaux émetteurs.
Puis l’intrusion de l’humain déséquilibre les repères précédents.
Nouvel état des lieux :
La composition sonore est astringente ou expansive suivant le territoire parcouru au fil de la visite.
L’homme sociétalement omnipotent se garde la part du lion, domestique la vie dans son entièreté au rythme de son timing journalier, ayant réussi, en fin de compte, « à chasser du naturel l’instinct ».
Nouvelle situation : un îlet alcatrazal dans la société urbaine, comme vitrine du monde animal choséifié pour le seul plaisir du genre humain, est observé à la loupe.
Il en ressort une confrontation de deux genres vivants dont le plus doué de conscience ignore le droit d’ainesse.
Les sons participent de l’idée d’isolement de par leurs cloisonnages intermittents; au train où vont les choses, cellules, cages de verres, châsse s’ordonnent en suspens constant.
« Un travail de têt », expérience paramétrée en laboratoire mécanisé, reformule une version cauchemardesque de la réalité.
Au final, sous cloche, le relativisme de la suprématie de l’homme sur l’animal point.

(Texte : Didier Mercier)

SO

Pièce sonore 6’30 – 2007
Primé au concours d’art sonore de phonurgia nova 2007,
diffusé 18 janvier 2008 à l’Ircam pour la semaine du son.

Carnet de voyage sonore : la vie en prise directe de Berlin.

En quatrième année des Beaux Arts, dans le cadre des échanges Erasmus, fille au pair à Berlin Ouest, étudiante à Berlin Est, enregistreur en poche durant cinq mois, voici « SO » la vie en prise directe de Berlin, Action !
Une enfilade de portes ouvertes qui sont autant de sources d’où surgissent des ambiances distinctes, en chœurs bigarrés d’accents variés unis dans le flux, dans le flot, comme les pans sonores d’une orchestration universelle. L’apparent mode aléatoire des incursions sonores procèdent d’une dynamique propre à la quotidienneté.
« Es gibt kein punkte am Ende, das ist die richtige Forme» (il n’y a pas de point à la fin c’est la vrai forme) : Le son y est continuel, pas de description figée, murée sur cette ville, seulement l’écoute d’un passage.
Seule ponctuation préconisée « So » signifiant la capacité de synthèse, la possibilité de continuité, l’élargissement hors limite.

POINT VIRGULE

Pièce sonore, piano 2’25 – 2007

Ma pratique plastique et pianistique m’ont amené à composer un morceau de piano en faisant appel au collage, par l’agencement d’accords fondamentaux, de fins empruntées aux morceaux classiques (Rachmaninov, Debussy, Bartok, Mozart, Brahms, Beethoven, Ravel, Chopin). Aucun refrain, dénouement en perpétuelle devenir!

SYMPHONIE PORTABLE

Pièce sonore, 1’36

Chaos puis ré-harmonisation de la population téléphonique.

A COMME ANIMAL

Pièce sonore, 4’56 – 2006

Diffusé au festival sonore City Sonics à Mons – 22.06 > 29.07.07
Cet environnement sonore ludique part d’un fragment de propos de Gilles Deleuze sur l’Animal dans son abécédaire posthume (entretien avec Claire Parnet, réalisation : Pierre-André Boutang, 1996).
Il s’agit de la lettre A de l’abécédaire de Deleuze, concernant les animaux domestiques et plus particulièrement le rapport entre les hommes et leurs bêtes.
« Comment les gens parlent ils à leurs bêtes » Gilles Deleuze est déconcerté par le dialogue entre l’humain et l’animal.
La pièce sonore illustre cette pensée et documente l’état de ce rapport à partir d’enregistrement réel de relation « maître/animal ». Les relations intimes avec nos chers petits animaux domestiques sont ici dévoilés..

VOUS AVEZ COMPRIS ?

Pièce sonore, 1’46

Une femme âgée se pose toute la journée la même question…
Montage de l’utilisation du mot « comprendre » en 2 h d’enregistrement avec ma grand-mère.

CAUCHEMAR MERVEILLEUX

Pièce sonore ambisonique  60 min – 2016
Composition – Léonore Mercier
Texte – Arthur H

Le Cauchemar merveilleux est à l’origine un recueil de poème et contes d’Arthur H, qu’il a choisit de faire entrer dans une autre dimension. Celle d’une mise en son 3D agencée par une plasticienne sonore, Léonore Mercier. Le Synesthesium, espace multisensoriel et immersif permet à Léonore de sublimer la poésie punk mystique et l’imaginaire empreint de liberté d’Arthur H. Il faut « laisser les sons et les images nous traverser et nous transporter », dit-il. Le son transforme le quotidien vers un monde fantasmagorique doué de pouvoirs hallucinatoires illimités », répond-elle. Le Synesthesium accueille pour première œuvre « Le Cauchemar Merveilleux ». Mais celui-ci a pour vocation de diffuser différents projets d’Arthur H et Léonore Mercier mais aussi d’autres artistes invités. Pour une durée de 60 minutes, en live ou en installation, cette immersion inédite stimule non seulement nos sens, mais bouleverse également notre manière d’écouter et de voir, grâce à un équipement innovant.

ANATOMIE DE L’AUTOMATE BARBARE

Pièce radiophonique 10′ – 2010

Un homme, facteur d’orgue obscur met en branle un système mécanique
qui diffuse des mélodies exaltées, incantatoires, douées de pouvoirs
métamorphiques.

POINT DE COTE

Pièce sonore 13’30 – 2008
Fruit d’une résidence à l’IMEB, Institut de musique électro acoustique de Bourges.
39ème festival de synthèse de l’Imeb à Bourges
Concert à l’Ircam dans le cadre de la sixième semaine du son à Paris

En premier lieu, première étape de sectorisation, la situation : une île inexplorée bruissante de vies sauvages et d’exotismes.
En ouverture, le processus initial se délivre en une focalisation progressive sur le sujet d’analyse par le biais d’un recentrage sonore, rendant plus proche l’origine des sons.
La notion de rapprochement s’effectue par la sélection élective des cris. (chronologiquement : appels, alertes, alarmes !)
La monstration parcimonieuse permet le silhouettage sinon l’identification des animaux émetteurs.
Puis l’intrusion de l’humain déséquilibre les repères précédents.
Nouvel état des lieux :
La composition sonore est astringente ou expansive suivant le territoire parcouru au fil de la visite.
L’homme sociétalement omnipotent se garde la part du lion, domestique la vie dans son entièreté au rythme de son timing journalier, ayant réussi, en fin de compte, « à chasser du naturel l’instinct ».
Nouvelle situation : un îlet alcatrazal dans la société urbaine, comme vitrine du monde animal choséifié pour le seul plaisir du genre humain, est observé à la loupe.
Il en ressort une confrontation de deux genres vivants dont le plus doué de conscience ignore le droit d’ainesse.
Les sons participent de l’idée d’isolement de par leurs cloisonnages intermittents; au train où vont les choses, cellules, cages de verres, châsse s’ordonnent en suspens constant.
« Un travail de têt », expérience paramétrée en laboratoire mécanisé, reformule une version cauchemardesque de la réalité.
Au final, sous cloche, le relativisme de la suprématie de l’homme sur l’animal point.

(Texte : Didier Mercier)

SO

Pièce sonore 6’30 – 2007
Primé au concours d’art sonore de phonurgia nova 2007,
diffusé 18 janvier 2008 à l’Ircam pour la semaine du son.

Carnet de voyage sonore : la vie en prise directe de Berlin.

En quatrième année des Beaux Arts, dans le cadre des échanges Erasmus, fille au pair à Berlin Ouest, étudiante à Berlin Est, enregistreur en poche durant cinq mois, voici « SO » la vie en prise directe de Berlin, Action !
Une enfilade de portes ouvertes qui sont autant de sources d’où surgissent des ambiances distinctes, en chœurs bigarrés d’accents variés unis dans le flux, dans le flot, comme les pans sonores d’une orchestration universelle. L’apparent mode aléatoire des incursions sonores procèdent d’une dynamique propre à la quotidienneté.
« Es gibt kein punkte am Ende, das ist die richtige Forme» (il n’y a pas de point à la fin c’est la vrai forme) : Le son y est continuel, pas de description figée, murée sur cette ville, seulement l’écoute d’un passage.
Seule ponctuation préconisée « So » signifiant la capacité de synthèse, la possibilité de continuité, l’élargissement hors limite.

POINT VIRGULE

Pièce sonore, piano 2’25 – 2007

Ma pratique plastique et pianistique m’ont amené à composer un morceau de piano en faisant appel au collage, par l’agencement d’accords fondamentaux, de fins empruntées aux morceaux classiques (Rachmaninov, Debussy, Bartok, Mozart, Brahms, Beethoven, Ravel, Chopin). Aucun refrain, dénouement en perpétuelle devenir!

SYMPHONIE PORTABLE

Pièce sonore, 1’36

Chaos puis ré-harmonisation de la population téléphonique.

A COMME ANIMAL

Pièce sonore, 4’56 – 2006

Diffusé au festival sonore City Sonics à Mons – 22.06 > 29.07.07
Cet environnement sonore ludique part d’un fragment de propos de Gilles Deleuze sur l’Animal dans son abécédaire posthume (entretien avec Claire Parnet, réalisation : Pierre-André Boutang, 1996).
Il s’agit de la lettre A de l’abécédaire de Deleuze, concernant les animaux domestiques et plus particulièrement le rapport entre les hommes et leurs bêtes.
« Comment les gens parlent ils à leurs bêtes » Gilles Deleuze est déconcerté par le dialogue entre l’humain et l’animal.
La pièce sonore illustre cette pensée et documente l’état de ce rapport à partir d’enregistrement réel de relation « maître/animal ». Les relations intimes avec nos chers petits animaux domestiques sont ici dévoilés..

VOUS AVEZ COMPRIS ?

Pièce sonore, 1’46

Une femme âgée se pose toute la journée la même question…
Montage de l’utilisation du mot « comprendre » en 2 h d’enregistrement avec ma grand-mère.